EDITORIAL
Il devient de plus en plus manifeste qu’il existe deux cultures dans le monde : la culture de la division et la culture de la connexion. Telle que nous la rencontrons la culture de la division se base sur la création et le maintien de limites claires entre les personnes et les idées. Nous savons clairement qui « nous » sommes et qui sont les « autres ». Au contraire, la culture de la connexion est caractérisée par le fait qu'elle se concentre sur les liens unissant les personnes et les projets. Les personnes embrassant cette culture portent leurs efforts sur la découverte d'une transversalité et d'un savoir collectif dépassant ces catégories politiques, sociales, économiques et organisationnelles, qui si souvent restreignent notre champ visuel et nos actions.
Il y a des avantages à tirer de la diversité. Cette culture émerge par le biais d’un apprentissage des liens qui existent entre toute forme de vie. Nous croyons que choisir de vivre nos vies à l’intérieur d’une culture de la division ou de la connexion… relève d’une question de société fondamentale.